MAYDAY MAYDAY est conçu sous la forme d’un diptyque que le chorégraphe lance, comme on lancerait un SOS : d’abord par le filtre d’une résistance qui nous pousse à sortir nos monstres (Ridi ! Pagliaccio ! SOLO 2009), puis par une tentative de réappropriation de ses espaces intimes comme une façon d’être au monde.